You are currently viewing Les 8 façons dont les codes d’aéroport sont choisis: d’où viennent ces codes à 3 lettres

Tu connais peut-être les principaux détails de ta carte d’embarquement: ton nom, numéro de siège, le lieu de départ et la destination. Mais il y a aussi un acronyme de 3 lettres qui accompagne la ville de destination et de départ: l’indispensable code d’aéroport à 3 lettres. Tu te demandes d’où ça vient?

Notre image cocasse sur les nouveaux codes d’aéroport à apprendre pendant la crise du coronavirus a été très populaire. C’est donc un bon moment pour en apprendre plus à ce sujet. (Ajout: pour ceux qui veulent le coussin dans l’image, il est disponible ici).

Même si tu es un voyageur expérimenté, tu ne sais peut-être pas grand-chose sur ces géocodes à 3 lettres, mais ils sont essentiels dans le monde du transport aérien. Les codes d’aéroport identifient un aéroport bien précis. Grands ou petits, presque tous les aéroports commerciaux ont un code qui leur est attribué.

C’est très intéressant, même pour ceux qui ne sont pas des geeks de l’aviation comme moi, si tu es intellectuellement curieux de nature. Les origines de nombreux codes d’aéroport sont simples, mais certains ont des explications plus complexes que j’ai eu du plaisir à découvrir moi-même.

Voici donc les détails.

 

La base des codes d’aéroport

Le code à 3 lettres est l’identifiant d’emplacement défini par l’Association internationale du transport aérien (IATA), basée ici au Canada soit dit en passant (à Montréal).

Il y a un code unique pour chaque aéroport. Il est essentiel pour distinguer rapidement un aéroport précis plutôt que de s’embêter avec des identifiants longs et non standardisés. Ce code est aussi très utile lorsqu’une ville possède plusieurs aéroports, ce qui est le cas de la plupart des grandes villes.

Par exemple, un vol vers “New York City” serait trop vague, et préciser “New York City – LaGuardia” chaque fois ne serait pas pratique. Aussi, de nombreuses villes du monde partagent le même nom, et même des villes au sein d’un même pays. Aux États-Unis, un vol vers “Portland” peut signifier la plus grande ville de l’Oregon ou la plus grande ville du Maine. Devoir spécifier “Portland, Oregon” est long et peu pratique.

C’est pourquoi les codes d’aéroport sont si utiles. Ils ont toujours 3 lettres et il n’y a donc aucune ambiguïté (si tu les connais bien entendu).

Pour ceux qui s’intéressent à l’origine des codes d’aéroport, dans les années 1930, les aéroports américains utilisaient les codes de ville à 2 lettres du National Weather Service (NWS). Cependant, comme les voyages en avion sont devenus plus populaires, et vu le nombre croissant d’aéroports, incluant dans les villes sans code NWS, les codes à 3 lettres ont été adoptés. Après les années 1960, l’IATA a entrepris de définir un processus standardisé afin d’éviter toute confusion.

 

Les 8 façons dont les codes sont choisis

Il y a quelques explications derrière la provenance des codes à 3 lettres de chaque aéroport. Comme je le disais plus haut, certains codes sont très logiques, tandis que d’autres sont beaucoup plus complexes. Il y en a même qui sont formés d’une combinaison des 8 différentes façons.

Dans le prochain article sur les codes (inscris-toi gratuitement), je vais parler spécifiquement des codes d’aéroport canadiens (plus que je le fais dans le #8 ci-dessous) et te partager un outil pratique pour en connaître plus sur tout code d’aéroport. Personnellement, j’adore ça et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je connais à peu près tous les principaux codes d’aéroport dans le monde: dès que je vois un code que je ne reconnais pas, j’utilise cet outil au lieu de faire une recherche Google comme je le fais pour tous les autres questionnements qui existent.

 

1. Le nom de la ville

Souvent, l’identifiant est choisi en fonction des trois premières lettres du nom de la ville, tel que AMS pour Amsterdam, SYD pour Sydney et MEX pour Mexico. Ce sont les plus simples.

 

2. Abréviations du nom de la ville

Le code d’aéroport peut également refléter une combinaison de lettres qui fait référence à la ville comme HKG pour Hong Kong, JNB pour Johannesburg ou SFO pour San Francisco. Plutôt simple aussi.

 

3. Le nom de l’aéroport

Les deux premiers semblent logiques, n’est-ce pas? Mais qu’en est-il lorsqu’il y a plus d’un aéroport dans une même ville?

Dans ce cas, l’identifiant est choisi de différentes manières, comme par exemple selon le nom de l’aéroport lui-même. Par exemple à New York, JFK représente l’aéroport John F. Kennedy et LGA représente l’aéroport LaGuardia. Dans certains cas, les codes proviennent du nom de l’aéroport au lieu du nom de la ville, même si la ville n’a pas plusieurs aéroports.

Dans certaines villes avec plusieurs aéroports, le plus ancien a conservé le code le plus évident, tandis que le plus récent est tiré du nom de l’aéroport. C’est le cas pour HOU et IAH, le Houston Airport et le plus récent Houston Intercontinental Airport (avec l’ordre des lettres inversé).

Dans d’autres cas, le code le plus évident est transféré au nouvel aéroport quand il ouvre, comme à Istanbul. D’ailleurs, parfois quand il y a un aéroport clairement plus grand et plus important, il obtient le code le plus évident, comme IST pour Istanbul, tandis que l’aéroport secondaire obtient un autre code, comme SAW pour l’aéroport international Istanbul-Sabiha Gökçen.

Mais d’où vient le W dans cet exemple? Bienvenue aux filler letters, ou les lettres ajoutées/de remplissage.

 

4. Les lettres ajoutées (ou filler letters)

Pour diverses raisons, de nombreux aéroports utilisent des lettres ajoutées pour compléter leur code à 3 lettres. Un bon exemple est LAX. Étant donné qu’à l’époque les codes d’aéroport n’avaient que 2 lettres, l’aéroport de Los Angeles était LA. Lorsque le code à 3 lettres a été implanté, il était plus simple d’ajouter la lettre de remplissage X à la fin.

Un autre excellent exemple est celui de DUB qui a été choisi pour Dublin en Irlande (selon la méthode #1), obligeant ainsi Dubaï à choisir DXB avec cette même lettre de remplissage «X», une des plus populaires. La magnifique ville croate de Dubrovnik a eu le même problème et ils ont ainsi opté pour DBV, une abréviation logique du nom de la ville (selon la méthode #2).

 

5. Les noms historiques

Certains identifiants conservent le nom de la ville utilisé autrefois. Celle-là en est une qui explique plusieurs des codes qui peuvent sembler aléatoires à première vue. Ceux qui connaissent moins l’histoire d’un pays peuvent alors avoir du mal à en comprendre l’origine.

Par exemple, la ville de Mumbai en Inde s’appelait autrefois Bombay. C’est pourquoi son code d’aéroport est toujours BOM, ce qui n’a rien à voir avec le mot Mumbai. Guangzhou en Chine a le code CAN parce que la ville se nommait auparavant Canton. Même chose en Russie pour Saint-Pétersbourg et son code LED; la ville s’appelait Leningrad.

Tout comme certains codes viennent du nom de l’aéroport (#3) au lieu du nom de la ville (#1 et #2), certains codes proviennent du nom historique de l’aéroport plutôt que du nom historique de la ville. Ceux-là sont quasi-impossibles à déduire, contrairement à ceux par rapport au nom de la ville… ce sont des codes parmi les plus difficiles.

Par exemple, l’un des aéroports les plus fréquentés au monde est l’aéroport international de Chicago O’Hare, dont le code ORD n’a rien à voir avec le nom: l’aéroport s’appelait auparavant Orchard Field, et c’est de là que vient le code. Un autre aéroport très achalandé, à Orlando, porte le code MCO, car il s’agissait avant de la McCoy Air Force Base. Enfin, le code de l’aéroport de la Nouvelle-Orléans est MSY, parce que c’était autrefois le Moisant Stock Yards.

 

6. L’emplacement de l’aéroport

Certains codes proviennent du nom de la banlieue ou de la municipalité où se trouve un aéroport, plutôt que du nom de la ville qu’il dessert. Je t’ai déjà donné mon opinion sur les lignes imaginaires dans les «villes», tu peux donc deviner à quel point je pense que ces codes sont stupides (sauf peut-être pour les villes qui ont plusieurs aéroports).

Les codes des 2 principaux aéroports de Tokyo, HND et NRT, proviennent du nom des villes où ils ont été construits, Haneda et Narita. Il peut également s’agir d’une combinaison de noms de villes et de banlieues, comme LHR pour l’aéroport de Londres-Heathrow.

Mais le seul aéroport majeur de Bucarest porte le code OTP, qui signifie Otopeni, la petite ville où se trouve l’aéroport. Un autre exemple est CVG, qui est le code du seul aéroport de Cincinnati, parce qu’il est situé dans la municipalité de Covington.

 

7. Les villes multiples

Parfois, un aéroport dessert plusieurs villes et opte simplement pour un code qui réflète ça.

Il y a par exemple MSP pour l’aéroport de Minneapolis-Saint Paul, DFW pour l’aéroport de Dallas-Fort Worth et LBA pour le Leeds-Bradford Airport. D’autres sont nommés pour désigner des régions entières, comme RSW à Fort Myers, en Floride, pour Southwest Florida Regional (ordre inversé).

 

8. Autres et exceptions

Ces 7 pratiques expliquent la grande majorité des codes d’aéroport dans le monde.

Ce qui nous amène au Canada, où il n’y a tout simplement pas d’explication rationnelle aux codes. La plupart des codes d’aéroport au Canada commencent par la même lettre: Y. Aucun autre pays au monde ne possède une lettre complète de l’alphabet pour ce qui est des codes d’aéroport. Et si un pays devait possèder une lettre complète (et donc près de 4% des codes), ça devrait pas être le Canada, avec notre 0,48 % de la population mondiale.

Pourquoi donc? Eh bien, ça remonte aux années 1930, lorsque certains codes étaient utilisés pour les stations d’observations météorologiques ou les émetteurs radio. Comme mentionné ci-dessus, les codes étaient composés de 2 lettres, donc Vancouver était VR.

La lettre Y a été choisie comme lettre ajoutée devant chacun à la grandeur du pays, donc dans un sens tout le Canada utilise la méthode de la filler letter. Mais plusieurs sources croient que c’est pour le mot «Yes», qui indiquait que «oui», une station météorologique précise était également un aéroport, d’où YVR.

Au moins, celui-là est quelque peu lié au nom de la ville. La plupart des autres ne le sont pas du tout: YYZ pour Toronto, YUL pour Montréal, YYT pour St. John’s… bravo pour la compléxité, Canada. Comme je l’ai écrit dans notre article sur les taxes d’aéroport au Canada, il y a quelques exception, tous des petits aéroports, comme ZBF pour Bathurst. Quelques codes commençant par Y ne sont pas situés au Canada, mais il n’y en a pas beaucoup.

À l’opposé, certains endroits se soucient réellement de leurs codes d’aéroport. Puisqu’ils ne voulaient pas utiliser MAL (qui signifie «mauvais» en espagnol aussi), Malaga, en Espagne, a préféré opter pour AGP (avec une lettre ajoutée).

Parlant de détails liés à la langues, certains codes comme NAN pour Nadi, sont basés sur la prononciation du nom de la ville plutôt que l’écriture (ça se prononce Nahn-di en Fidjien).

Dans la même veine, plusieurs aéroports ont suivi la règle simple #1 ou #2 de choisir un code basé sur le nom de la ville… mais utilisent l’épellation anglophone du nom de leur ville au lieu de l’épellation locale. Parce que l’anglais est la langue universelle très pratique pour les voyages!

Par exemple, c’est VCE pour Venice même si c’est Venezia en italien (pas de “C”), c’est PRG pour Prague même si c’est Praha en tchèque (pas de “G”) et c’est VIE pour Vienna même si c’est Wien en allemand (pas de “V”).

Les États-Unis ont leur propre particularité: la US Navy a réservé tous les codes commencant par «N», ce qui donne EWR pour Newark, BNA pour Nashville ou ORF pour Norfolk.

Les lettres K et W étaient réservées par la Federal Communications Commission, donc c’est EYW pour Key West. Internationalement, c’est souvent la lettre Q qui est utilisée comme 1ère lettre pour les transmissions radio, donnant UIO pour Quito en Équateur.

Un autre identifiant très étrange est celui de Panama City, en Floride. Le code ECP a été choisi parce que l’endroit est l’une des destinations les plus populaires pour le Spring Break collégial… où Everyone Can Party (ce qui signifie «tout le monde peut faire la fête»). Non, ce n’est pas une blague. Certains n’ont pas été intentionnellement choisis pour être drôles, mais font toujours rire beaucoup de gens, comme FUK à Fukuoka ou SUX à Sioux City.

La Caroline du Nord a un avion et la mention «First in Flight» sur leurs plaques d’immatriculation, mais elle a aussi 2 aéroports avec des codes étranges à souligner. L’aéroport à Kill Devil Hills a le code FFA pour First Flight Airport, parce que c’est là où les frères Wright ont réussi le premier vol de l’histoire. L’aéroport n’est utilisé que par les avions privés et appartient au National Park Service.

L’autre est celui de la petite ville de Concord, qui a choisi le code USA pour être patriotique quand le transporteur ultra low-cost Allegiant a commencé à y offrir des vols en 2013. C’est l’aéroport de prédilection de bien des équipes de NASCAR basées à proximité et il n’y a rien de plus “MURICA!” que le NASCAR.

Voici un petit dernier américain qui est unique, soit MCI à Kansas City, autrefois appelé Mid-Continent International Airport. Il y a un débat à savoir si l’aéroport a été nommé en l’honneur d’une compagnie aérienne qui y avait son hub (Mid-Continent Airlines), ce qui en ferait le seul code d’aéroport dérivé d’un nom de compagnie, ou encore pour la position géographique de Kansas City au milieu du continent, ce qui est tout aussi inhabituel comme origine de code.

Finalement, il existe une exception unique au monde: l’aéroport international de Bâle-Mulhouse-Fribourg (ou EuroAirport) qui possède 3 codes d’aéroport IATA, car il est l’un des seuls aéroports au monde administré par deux pays. MLH est le code français (Mulhouse) et BSL est le code suisse (Bâle ou Basel en anglais). Et EAP (EuroAirport) est le code neutre, un peu comme celui des villes complètes ci-dessous.

 

Bonus: Codes de ville et codes OACI

Je ne veux pas te mélanger, mais il y a une dernière chose à savoir sur les codes d’aéroport. Certains codes existent pour identifier une ville entière et tous ses aéroports. Mais pour être bien clair, ce ne sont pas des aéroports: ce sont simplement des codes pour regrouper différents aéroports.

Par exemple, lorsque tu recherches des vols, tu peux indiquer NYC, parce que c’est le code pour toute la zone métropolitaine de New York. NYC n’est pas un aéroport et tu ne pourras jamais acheter de billet pour l’aéroport «NYC», mais ça facilite la recherche.

Mais ce n’est plus nécessaire, puisque la plupart des bons outils de recherche de vols (comme nos favoris sur cette page de ressources) rechercheront automatiquement tous les aéroports si tu tapes « New York » sans cliquer sur un aéroport précis.

 

Ces codes sont rarement utilisés, mais au moins maintenant tu sais qu’ils existent.

De plus, chaque aéroport a un autre code, celui-ci avec 4 lettres. C’est le code OACI, par opposition au code IATA dont on parle depuis le début et que tout le monde utilise. Encore une fois, le code OACI n’est presque jamais utilisé, alors ne t’en fais pas. C’est surtout du côté technique que les codes OACI à 4 lettres sont importants, mais tu n’as aucunement besoin de savoir ce que c’est si tu voyages.

 

Pourquoi c’est important de connaître les codes d’aéroport

De nombreux codes d’aéroport sont devenus synonymes d’une ville dans son ensemble, si l’on se fie à la vaste quantité de produits dérivés avec le code d’aéroport dessus.

Tu n’as pas nécessairement besoin de connaître un code d’aéroport pour acheter un billet, mais plus tu vas voyager, plus tu vas commencer à reconnaître les codes d’aéroport et à devenir encore plus un pro des voyages en avion.

De plus, lorsque 2 villes ont le même nom, les codes d’aéroport sont très utiles. Un voyageur l’a appris à la dure. Le néerlandais avait réservé un billet pour Sydney, en Australie — du moins, c’est ce qu’il croyait. Finalement, il a atterri à Sydney, en Nouvelle-Écosse, une petite ville canadienne qui n’a rien à voir avec l’Australie et qui offre une toute autre ambiance.

C’est l’une des raisons pour laquelle les codes existent: choisir YQY ou SYD va t’assurer d’aller au bon endroit. On va bientôt partager un autre article avec une liste de codes et de villes qui sont souvent confondus, en plus de ceux sur les codes canadiens et l’outil où tu peux lire l’origine des codes.

 

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Et en attendant, tu peux lire 10 aéroports qui se démarquent à travers le monde et que les voyageurs devraient connaître.

 

Sommaire

Maintenant, tu connais mieux les codes d’aéroport, ce qu’ils signifient et comment ils sont utiles pour mieux planifier tes voyages, soit en comparant les prix lors de tes recherches de vols, soit en t’assurant que ta destination est bien celle que tu souhaites!

Aimes-tu ce genre de contenu informatif? As-tu des questions sur les codes d’aéroport? Dis-le-nous dans les commentaires ci-dessous!

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Andrew D'Amours

Andrew est le cofondateur de Flytrippers. Il est passionné de voyages, mais aussi de l'industrie du voyage elle-même en tant qu'ancien consultant en gestion. Il partage son expérience et t'aide à économiser sur tes voyages. En tant que voyageur très économe, il adore trouver des bons deals et avoir des voyages gratuits grâce aux points de récompenses de voyage... pour l'aider à visiter chacun des pays du monde (compte actuel: 71/193 pays, 47/50 États Américains & 9/10 Provinces Canadiennes).

Cet article a 9 commentaires

  1. Blaise

    Que signifie le code FIH ?

    1. Andrew D'Amours

      Bonjour, celui-là est un code dont l’origine est un peu disputée et pour laquelle je ne trouve aucune source «officielle» (ou fiable disons).
      Apparemment, ça viendrait du mot «FlemIsH» qui est le nom du dialecte flamand en anglais. C’est à tout le moins plausible étant donné que l’aéroport a été construit pendant la période coloniale belge, mais c’est quand même étrange que ça soit en anglais aussi. Mais c’est la seule piste que j’ai trouvée 🙂

  2. Manon

    Très intéressant comme article!

  3. Michel Saint-Pierre

    Au Canada, si c’était refaire, voici des exemples. JLS pour Québec (Jean Lesage) PET pour Montréal, LBP pour Toronto (Lester B. Pearson) etc……

    1. Andrew D'Amours

      Je suis bien difficile là-dessus, mais j’aime vraiment mieux les codes qui ont rapport avec le nom de la ville qu’avec le nom de l’aéroport qui est arbitraire et subjectif haha! MTL, QBC et TOR auraient été tellement plus appropriés 😉

      Mais ils sont tous déjà pris:

      • MTL (petit aéroport sans service commercial à Maitland, en Australie)
      • QBC (petit aéroport en Colombie-Britannique ironiquement, à Bella Coola)
      • TOR (petit aéroport sans service commercial à Torrington, au Wyoming).

      Cela dit, tes 3 suggestions sont logiques, et PET ça serait certainement cocasse pour tout le monde francophone, et les anglophones qui aiment les animaux apprécieraient aussi.

      Mais les 3 sont déjà pris aussi malheureusement:

      • PET (petit aéroport au sud du Brésil, à Pelotas)
      • JLS (petit aéroport au centre du Brésil, à Jales)
      • LBP (petit aéroport en Malaisie, à Long Banga)

      On est donc pris avec nos codes atroces malheureusement. Je parlerai davantage des codes canadiens dans la suite de la série:)

  4. Angye

    Tous les aéroports ne sont pas les 3 premières lettres de l’exemple Montevide Uruguay MVD Santiago Chili SCL

    1. Andrew D'Amours

      En effet, les 3 premières lettres, c’est seulement une des 8 façons de choisir les codes (la #1 de l’article). Ton exemple serait le #2 pour Montevideo et Santiago.

  5. Tobert

    Et que penser du code de l’aéroport de Mont-Joli qui est YYY, qui se lit en anglais why-why-why…. aeroportmontjoli.com

  6. Jean-Sébastien Girard

    Merci pour cet article qui étend notre culture générale!

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